Le temps de travail, aussi appelé temps de travail effectif est l’intervalle de temps durant laquelle un employé doit se concentrer exclusivement sur les tâches qui lui ont été assignées. C’est le code du travail qui l’explique en détail et qui montre la marche à suivre pour le calculer. De nos jours, la plupart des travailleurs reçoivent un salaire mensuel. Ainsi, il est important et nécessaire de savoir comment calculer son temps de travail mensuel. Voici quelques directives pour vous aider à réaliser facilement cette opération.

Calculez votre temps de travail mensuel

Le temps de travail est vu comme la durée pendant laquelle l’employé doit se dévouer uniquement aux directives de son employeur. Le temps de formation est aussi inclus dans le calcul du temps de travail effectif. Ce dernier est calculé en faisant abstraction du temps de repos (période pendant laquelle un employé peut disposer librement de son temps et se concentrer sur ses propres occupations).  La loi du 19 janvier 2000 stipule que la durée hebdomadaire légale de travail est de 35 heures. Les heures en plus seront considérées comme étant des heures supplémentaires. Pour votre calcul de temps de travail mensuel basez-vous sur la limite hebdomadaire.

Identifiez les activités considérées comme du temps de travail effectif

Il est primordial de savoir distinguer les activités inclues dans le calcul du temps de travail. A chaque fois que vous devez vous mettre à la disposition de votre employeur, que vous devez vous conformer à ses directives et que vous n’avez pas la liberté de disposer de votre temps comme vous le souhaitez, considérez cela comme faisant partie du temps de travail effectif.  Le code de travail énumère en détail, plusieurs situations pouvant être assimilées à des heures de travail (les heures de délégation en tant que représentant du personnel, la visite médicale d’embauche et les examens médicaux obligatoires, l’application des heures de formations exigées par le patron, etc.). Ainsi, si vous désirez en savoir plus, jetez un coup d’œil sur cette partie de la loi du 19 janvier 2000.